The Orville - New Horizons : Critique 3.04 Gently Falling Rain

Date : 26 / 06 / 2022 à 13h00
Sources :

Unification


THE ORVILLE NEW HORIZONS

- Date de diffusion : 23/06/2022
- Plateforme de diffusion : Hulu
- Épisode : 3.04 Gently Falling Rain
- Réalisateur : Jon Cassar
- Scénaristes : Brannon Braga & Andre Bormanis
- Interprètes : Seth MacFarlane, Adrianne Palicki, Penny Johnson Jerald, Scott Grimes, Peter Macon, J. Lee, Mark Jackson, Chad L. Coleman, Jessica Szohr et Anne Winters

LA CRITIQUE FM

Ce quatrième épisode de The Orville est pour moi l’exemple parfait de ce que je privilégie, j’aime et j’adore en science-fiction. Brannon Braga et Andre Bormanis utilisent à la perfection leur histoire d’anticipation pour apporter un éclairage sur notre société contemporaine, à l’instar du Battlestar Galactica et For All Mankind de Ron Moore et bien entendu du Star Trek historique. Et quel timing, alors que cet épisode est arrivé, sur Hulu aux USA, la veille de la décision de la Cour Suprême sur le droit fédéral à l’Avortement.

Alors, oui, l’épisode redéfinit les conditions du conflit avec les Kaylons, ouvre un second front contre les Krills et donc aura des répercussions graves sur la suite des événements de la saison. Mais l’intérêt premier de cette histoire n’est pas là.

La grille de lecture de l’épisode est multiple : d’abord sur les conditions des élections chez les Krills. Le déroulement de ces élections semble s’être déroulé de manière démocratique. Les manipulations médiatiques lors de la campagne ont eu lieu des deux cotés. Et le pouvoir précédent, dans sa tour d’ivoire, ne semble pas avoir été en capacité de percevoir la possibilité d’être mis en minorité. En-dehors du fait que Teleya assassine post élection le précédent Chancelier Suprême, ce n’est pas difficile de reconnaître peu ou prou les caractéristiques des élections américaines, mais au-delà aussi des nôtres en France.

Populisme, utilisation de la religion pour diriger la colère des foules, Deep Fake à gogo pour monter les uns contre les autres, aveuglement des pouvoirs, remise en cause des traités post élection. The Orville met en lumière brillamment cette semaine le chaos ambiant qui fait notre quotidien politique et médiatique aujourd’hui sur Terre.

Et sur le droit à l’avortement, la scène de ce couple Krill, dialoguant virtuellement avec l’enfant qu’ils n’ont pas eu, est troublante. D’abord, parce qu’il ne me semble pas qu’il y ait une prise de position militante des auteurs. Ensuite parce que le double regard sur la scène d’Ed et Teleya, ajouté au fait que cette dernière ait gardé leur fille, laisse au téléspectateur toute sa réflexion sur ce sujet sensible.

Très peu de choses m’ont gêné dans cet épisode, en tout cas rien qui n’est venu tempérer mon enthousiasme. On va dire que laisser le Président de l’Union débarquer sur Krill en pleine élection potentiellement problématique, et sans une garde rapprochée plus étoffée, est très optimiste... La ballade d’Ed dans les rues avec les gardes m’a semblé bizarre si l’objectif de Teleya était de le reconduire à sa navette qui, il me semble, se trouvait juste au-dessus du Palais...

En-dehors de ça, le plaisir de découvrir ce grand moment de télévision a été totale

LA CRITIQUE YR

Manifestement, la troisième saison de The Orville persiste à offrir de surprenants sequels ou épilogues aux opus de la seconde saison : après The Orville 03x01 Electric Sheep pour The Orville 02x08+02x09 Identity, The Orville 03x02 Shadow Realms pour The Orville 02x10 Blood Of Patriots, et The Orville 03x03 Mortality Paradox pour The Orville 02x12 Mad Idolatry, The Orville 03x04 Gently Falling Rain vient maintenant apporter une suite directe — et une nouvelle fois fort inattendue — à The Orville 02x04 Nothing Left On Earth Excepting Fishes (qui lui-même poursuivait l’arc composé de The Orville 01x06 Krill et The Orville 02x01 Ja’loja).
Même si cette initiative pourrait faire quelque peu mentir le nouveau sous-titre de la saison (New Horizons), elle révèle un sens acéré de la continuité, dans le court comme dans le long terme, soit le fondement même du worldbuilding, ainsi que le Star Trek historique était capable d’en offrir jusqu’en 2005 (mais hélas pas ensuite).

Poursuivant les négociations de paix entre les Krills et la Planetary Union entamées dans The Orville 03x02 Shadow Realms, le chancelier suprême Korin (accompagné de l’ambassadeur KTZ) est cette fois invité sur Terre dans le New York du 25ème siècle par le président Alcuzan, la sénatrice xelayane Speria Balask, et l’amirauté de la flotte (amiral Perry, amirale Ozawa, amiral Halsey). À la suite de quoi, dans un retour de politesse diplomatique, une délégation de l’Union — convoyée par l’USS Orville — est invitée sur Dalakos, la cité capitale de Krill, pour la signature du traité historique… le jour même où le chancelier Korin est convaincu d’être triomphalement reconduit dans sa charge par de vastes élections planétaires.
Malheureusement rien ne se passe comme prévu, et seuls le basculement sociétal et la tragédie résultante seront historiques. Loin d’être réélu avec une confortable avance, Korin est battu de peu par une charismatique challenger populiste qui n’est autre que... Teleya avec qui le capitaine Ed Mercer avait eu une liaison (lorsqu’elle s’était infiltrée au sein de la flotte de l’Union sous une apparence humaine et l’identité de Janel Tyler dans The Orville 02x01 Ja’loja). Celle-ci accède donc, contre tout attente, à la fonction de Supreme Chancellor grâce au concours de fraudes généralisées (notamment des "deep fakes" systémiques impossibles à distinguer de la réalité), constituant en réalité un coup d’état fomenté par les composantes les plus conservatrices — donc théocratiques — de la société Krill qui, par crainte d’une dilution de leur identité dans un vaste ensemble multi-communautaire et intergalactique, sont hostiles à tout traité avec l’Union…
Au mépris des procédures usuelles (notamment d’arbitrage et de passation pacifique du pouvoir), la nouvelle chancelière "élue" dans des conditions plus que douteuses révoque unilatéralement tous les engagements antérieurs du gouvernement Krill et fait immédiatement arrêter son prédécesseur pour trahison avant de l’assassiner (le poignarder) de ses propres mains devant une foule galvanisée et fanatisée !
Teleya projette ensuite de faire subir le même sort à la délégation de l’Union (le président Alcuzan, la sénatrice Balask, l’amiral Halsey, le capitaine Mercer, et l’enseigne Burke), désormais dépossédée de toute protection diplomatique et emprisonnée sur Dalakos, quitte à provoquer une guerre totale avec la Planetary Union (et ses centaines de mondes)... dont les Kaylons pourraient tirer profit. Autant dire une revanche et un vaste piège à retardement ourdi par celle que Mercer avait eu la générosité de délivrer dans The Orville 02x04 Nothing Left On Earth Excepting Fishes...
Mais l’USS Orville, sous le commandement de la XO Kelly Grayson, réussit à s’échapper de l’orbite de Krill... pour revenir en force avec la vaste flotte de l’Union afin d’exfiltrer la délégation prisonnière (au moment précis où le président Alcuzan se faisait publiquement poignarder) via la mise en œuvre de la Directive 21 (i.e. une mission commando où les officiers de l’USS Orville — notamment LaMarr et la Dr Finn — auront pris l’apparence krill via un "microdermal makeover"...).

The Orville 03x04 Gently Falling Rain cumule d’innombrables audaces science-fictionnelles, notamment dans le registre du relativisme cognitif (opposé au relativisme invertébré à la mode)...

Ainsi, le Supreme Chancellor Korin assiste à Broadway à la version 2422 de la célèbre comédie musicale Annie de Thomas Meehan, Charles Strouse et Martin Charnin (1977), elle-même inspirée par la BD Little Orphan Annie de Harold Gray (1924), portée successivement au grand écran en 1982 par John Huston, puis en 1999 par Rob Marshall (dans une version Walt Disney édulcorée). Le rôle-titre (Annie) aura été successivement tenu — et donc la célèbre chanson Tomorrow successivement interprétée — par Andrea McArdle (1977), Aileen Quinn (1982), Alicia Morton (1999)… et ici par Isabella Meneses dans le rôle d’une orpheline xelayane (et non plus humaine) en quête de famille, scellant l’universalité de la thématique et de ses interprètes. Mais avec une forme d’humour aussi rare qu’intelligent car ne se construisant pas sur le dos de la crédibilité des structures ou des personnages, les redoutables Krills avouent — à la sidération générale des hôtes de l’Union — avoir été terrorisés par cette chansonnette enfantine… qui annonçait prophétiquement… la venue du soleil demain (« The sun’ll come out tomorrow ») ! Parce que dans la nuit perpétuelle du monde originel krill, le soleil est symbole de souffrance et de mort. Un précieux moment de décalage hilarant, participant pourtant de l’IDIC.

L’arrivée tumultueuse sur Dalakos, aussi titanesque et envoûtante que la Neo-Seoul de Cloud Atlas (2012), la Coruscant de Star Wars voire le Digital World du Tron (2010) de Joseph Kosinski, puis la déambulation dans le hall cyclopéen de la tour de la chancellerie sous la statue monumentale de la déesse Avis, tel un monstre de cauchemar, toute en pointes, en dents et en griffes… resteront autant de moments d’altérité alien gravés dans la mémoire du spectateur. Rarement un épisode de série TV n’avait réussi à être aussi immersif et viscéral dans son exploration d’une société extraterrestre, réussissant à offrir un parfait équilibre entre un exotisme hautement dépaysant et une source nourrissante de réflexion anthropo-référente (mais pas anthropocentrée pour autant), comme le font les meilleurs récits littéraires de SF d’anticipation.

À la fin de The Orville 02x04 Nothing Left On Earth Excepting Fishes, libérer Teleya pour braver les préjugés des Krills envers l’Union et offrir une ouverture au respect mutuel, ce fut assurément le choix le plus idéaliste de la part de Mercer, combinant un acte de foi en l’avenir et un actuaire raisonnable. Mais dans un univers vraisemblable, un bienfait est souvent puni en signe de retour du réel. Et de la même façon que James T Kirk a pu regretter son choix idéaliste à la fin de ST TOS 01x24 Space Seed au regard des conséquences tragiques dans ST II The Wrath Of Khan, Ed Mercer se mordra longtemps les doigts d’avoir élargi celle qui ruinera un traité historique mettant l’humanité à l’abri à la fois des Krills et des Kaylons, et s’apprêtera même à massacrer l’élite dirigeante de la Planetary Union.
Pourtant, comme le rappelle l’épisode à travers la voix des humbles Krills en charge d’Anaya (« No. That would accomplish nothing [to embarrass Teleya in order to bring down her government]. Someone else like her would eventually take her place. There is always another Teleya. »), rien ne dit que si Teleya était restée dans les geôles de la PU, un·e autre Krill n’aurait pas fait triompher le même populisme identitaire et protectionniste (dans l’air du temps)… selon le principe de la psychohistoire asimovienne (nul individu n’a un impact personnel mesurable sur l’Histoire).

Loin d’un féministe woke qui s’échouerait dans la misandrie (ou la matriarchie), The Orville 03x04 Gently Falling Rain participe d’un authentique progressisme paritaire, valorisant les expressions de genre dans leur entièreté et toute leur largeur de spectre, c’est-à-dire sans jamais chercher à les ménager ou les idéaliser. Et c’est ainsi que dans la plus rétrograde des sociétés, c’est bien une femme — et non un homme — qui concentrera les pires stigmates du populisme (fonction tribunicienne et psychologie des foules, vampirisation ochlocratique et détournement démocratique, angoisse existentielle et désir de continuité historique, vérités alternatives et mensonges systémiques, droit naturel contre droit positif, instrumentalisation des peurs et des haines, exaltations identitaires contre toutes les altérités...). Soit une façon très politiquement incorrecte d’être véritablement inclusif.

Tout le volet de l’enfant hybride cachée, Anaya (signifiant "gently falling rain" en langue krill soit le titre de l’épisode), née de l’union entre Mercer et Teleya (lorsqu’elle était encore Janel Tyler) mais considérée comme une "abomination" aux yeux de la société krill, est un grand classique de l’imaginaire. Toutefois, l’épisode a su éviter la facilité d’en faire un accessoire résolutif (au contraire par exemple des séries V The Final Battle) ou un vecteur tire-larme sur fond de musique violoneuse. Bien au contraire, la pudeur, la maturité, et la hauteur de vue rejoignent en tout point celles du remarquable ST ENT 04x21 Terra Prime quant à Elizabeth (la première métis humaine-vulcaine de la chronologie trekkienne conçue à partir des ADN croisés de T’Pol et Tucker), moyennant cependant une fin moins tragique ici et des ouvertures pour l’avenir...
Pour autant, loin d’être un happy end, la conclusion de The Orville 03x04 Gently Falling Rain est aigre-douce et tout en demi-teinte. L’amirauté de la flotte laisse à Ed la lourde responsabilité d’exploiter ou non ce levier intime compromettant contre la nouvelle chancelière, et le sort d’Anaya demeure très incertain (Teleya pourrait parfaitement décider de la faire disparaître pour préserver son image et sa charge). Mais surtout, l’Union se retrouve désormais face à trois ennemis bien distincts menaçant son existence même sur plusieurs fronts guerriers à la fois : les robotiques Kaylons, les théocratiques Krills, et les assimilateurs génétiques de The Orville 03x02 Shadow Realms.

Les femmes krills et/ou les couples qui avortent sont condamnés à une peine singulière, à savoir rencontrer la simulation holographique — sur la base de la combinaison de leur ADN — de l’enfant qui n’est pas né, venant leur parler pour les culpabiliser de l’avoir tué avant sa naissance… et les faire pleurer. Une expérience que Teleya fait découvrir en live à Ed, stupéfait, et qui est d’autant plus troublante qu’elle pourrait en effet très efficacement servir, conforter et légitimer le discours pro-vie contemporain. Les scénaristes auront donc réussi ici le tour de force d’imaginer l’aboutissement propagandiste le plus redoutable — littéralement orwellien — d’une politique de natalité imposée par l’état contre le consentement individuel, à la fois sans verser dans l’irréalisme dystopique de The Handmaid’s Tale et sans prendre parti dans l’exposition à l’écran. L’impact n’en est que plus redoutable car le spectateur est laissé seul face à lui-même. Chapeau, c’est digne de Stanley Kubrick.

Le plan final indéchiffrable de The Orville 03x04 Gently Falling Rain — où une Teleya (é)perdue est écartelée entre les implications de sa haine institutionnelle et son amour maternel pour une "abomination" — concentre à lui seul les paradoxes insondables de l’âme, quand bien celle-ci appartiendrait à l’ennemi nauséabond, à la bête immonde. Comme pour sceller l’impuissance d’une axiologie universelle.

La présence de Bruce Boxleitner possède ici un double poids symbolique. Non seulement en hommage à Alan Bradley alias Tron dans la saga éponyme à laquelle faisait référence le look de Dinal dans The Orville 03x03 Mortality Paradox et maintenant la ville de Dalakos aux atours du Digital World upgradé du film de 2010. Mais aussi et surtout tel un harmonique du capitaine John Sheridan, commandant de la station Babylon 5... puis premier président de l’Interstellar Alliance. Car le retrouver dans le rôle du président de la Planetary Union et sous le nom d’Alcuzan (rimant donc avec Sheridan) n’a rien d’un hasard. Et malgré l’épaisse couche de latex violet de son personnage extraterrestre (gage de non-géocentrisme comme dans le Trekverse), il est difficile de ne pas reconnaître Bruce Boxleitner par sa voix (pour qui a suivi Babylon 5 en VO) et par son jeu. Même si les signes de rapprochements s’étaient multipliés entre ST DS9 et Babylon 5 dans les années 1990, il est touchant que The Orville entérine ainsi l’héritage de l’autre grand monument de la SF, cet irréductible rival, inégalé par son ambition sémantique et sa cohérence internaliste.

(...)

Conclusion

Il serait possible de dénombrer quelques imperfections — ou frustrations — au sens trekkien quoique mineures : signature du traité le jour même de l’élection, nouvelle chancelière qui exécute elle-même ses ennemis, opération de sauvetage un peu rapide, dogfight spectaculaire en orbite de Dalakos interrompu aussi rapidement qu’il fut initié (sans perte visible à déplorer du côté de la PU)... Autant de détails qui témoignent d’un certain formatage dans la réalisation, ou du moins d’un fonctionnalisme dans l’enchaînement, susceptible de laisser une indéfinissable sensation de virtualité...

Néanmoins, pour qui estime que la SF s’accomplit pleinement à travers la transposition, The Orville 03x04 Gently Falling Rain est un pur ravissement tant il déploie une radioscopie saisissante des dérives occidentales contemporaines... au travers de sa plongée vertigineuse dans les institutions mais aussi les bas-fonds de la société krill... mais sans souiller ni même éclabousser le socle et les postulats utopiques de la série. En effet, parfaitement fidèle au paradigme trekkien édité par Gene Roddenberry, Brannon Braga veille bien à ne pas faire porter à la Planetary Union la charge transpositionnelle... contrairement à la tournante qu’Alex Kurtzman inflige à l’United Federation Of Planets depuis 2009 (et davantage encore depuis 2017).

Signe d’une maturité d’écriture, The Orville 03x04 Gently Falling Rain diagnostique et dénonce avec clairvoyance... tout en conservant une perpétuelle distanciation envers les sujets d’études, dans la vicinité d’Anton Tchekhov ou de Robert Anson Heinlein. Avec l’adoption de l’arrêt Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization impliquant la révocation de l’arrêt Roe v. Wade par la Cour suprême des États-Unis le 24 juin 2022, le hasard du calendrier confère assurément une aura prophétique à cet épisode (puisque sorti la veille sur Hulu / Disney+). Pour autant, les points de vue des héros ne sont pas forcément ceux de la série, qui évite ainsi le totalitarisme de l’objectivation, laissant donc les spectateurs libres de leur positionnement sans leur imposer un système de pensée préfabriqué. C’est ainsi que l’épisode réussit à être intelligemment clairvoyant, progressiste et idéaliste, mais sans s’abîmer pour autant dans un wokisme ou un militantisme anachronique.

The Orville 03x04 Gently Falling Rain incarne un modèle à suivre, la vitrine de ce que le Star Trek officiel aurait pu et dû être en 2022.
Ironiquement, à travers ses Klingons retconés sous forme d’Orques et redoutant la Fédération pour de semblables raisons à celles des Krills, Discovery avait lamentablement échoué à faire en 2017-2018 durant sa première saison ce que The Orville aura réussi en un seul épisode et avec un naturel déconcertant.
Prouvant à quel point le plus fécond des scénaristes trekkiens historiques, Brannon Braga, demeure toujours le mieux à même de porter haut et fort les couleurs de l’idéalisme roddenberrien par les temps incertains contemporains.

NOTE ÉPISODE

NOTE STAR TREK

BANDE ANNONCE



Les séries TV sont Copyright © leurs ayants droits Tous droits réservés. Les séries TV, leurs personnages et photos de production sont la propriété de leurs ayants droits.



 Charte des commentaires 


Grotesquerie : Critique 1.03 et 1.04
Grotesquerie : Critique 1.01 et 1.02
Agatha All Along : Critique 1.09 Vierge, Mère, Bigote
Agatha All Along : Critique 1.08 Partons maintenant car la gloire (...)
Agatha All Along : Critique 1.07 La Mort pour nous guider
Predator - Badlands : Un film qui change la donne dans la (...)
Gladiator II : L’Empire romain n’est pas gay (...)
Avengers - Secret Wars : Un nouvel âge pour les X-Men au (...)
Cat’s Eye : Une nouvelle série animée et un teaser (...)
Alien - Earth : Le teaser qui se rapproche du film original
En fanfare : La critique
Cape Fear : Javier Bardem a Les Nerfs à vif sur Apple (...)
Brèves : Les informations du 21 novembre
Les météores : La critique
Cinéma - Bandes annonces 21 novembre 2024