Reclexfion froponde
NuqneH !
En ce jour anniversaire de je ne sais plus bien quoi (mais c’est quelque chose d’important, j’en suis sûr…), j’ai décidé d’écrire le résultat de mes flér… de mes frél… de mes réflexions sur le sens de la fête… hips !
Tout b’adors, pardon, d’abord, qu’est-ce que la fête ? Hein ? C’est un truc ’achement chouette qu’on peut faire entre potes… à l’occasion de… kekchose…
Pis on retrouve la sanguine, le jus de prune, le jus de betterave, le jus… ticier (?) Non, pas le justicier ! Ça se boit pas… Enfin que je chasse. Non, que je sache. Avec un cht’it coulis de sang de Targ’h pour faire passer le trou… le tout.
Et dans le rituel festif, n’oublions pas la tentative de distanciation transcendantale du moi par rapport au surmoi, dans un but ostentatoire de transformation œdipienne socioculturelle en déphasement ostentatoire d’une prolifération purement existentielle du reniement pseudo existentialiste de la connaissance intrinsèque de la concomitance pratiquée depuis… depuis je sais plus quoi. (Pardonnez ce paragraphe, j’suis bourré !)
Et pis, kikc’est ce gugusse qui me regarde avec sa sale gueule, et son front en râpe à fromage ? Hein ? Kikt’es, toi ! T’es chez moi, t’es pas ma femme piske j’en ai pas, et puis qu’t’es un mâle… Fous le camp ! Quoi, tu reste là ? Tiens, voilà mon poing dans ta pauvre tronche de résidu de fausse couche ! Aïe, co… comment ça s’fait qu’t’es en verre ? Et t’as cassé mon miroir ! Enfin, heureusement, t’en as profité pour te tirer, lâche que tu es !
Bon, qu’est-ce que je disais, moi… Ah oui, la fête… Ça, c’est kekchose de couette, la fête… J’aime bien la fête, moi…
Quoi, t’es revenu ? Et dans mon verre, encore ! Tu vas tout me boire, s’pèce de sagouin !
Piske c’est comme ça, je vais aller retrouver mon klum… mon flum… zut ! Mon plumard ! Et oublier que j’existe…
Et comme disait Khaless : "Ben dis-donc, l’Amalb’Eyrh, qu’est ce qu’y tient : y se reconnaît même plus…"
Qapla’
Les illustrations des articles sont Copyright © de leurs ayants droits. Tous droits réservés.
