The Orville : La série n’est pas juste une comédie
Détrompez-vous, si vous vous attendiez à ce que The Orville, la nouvelle série de Seth MacFarlane ne soit qu’une parodie de Star Trek, pleine de blagues grossières, ce sera un peu plus que ça. La série de science-fiction, qui débutera le 10 septembre sur la Fox, ne sera pas une version des Griffin dans l’espace, elle aura aussi sa partie dramatique, avec des explorations métaphoriques sérieuses des problèmes sociétaux actuels, un épisode vers le début de la série s’attaque à l’épineuse question de l’identité de genre. Et c’est exactement la façon dont MacFarlane, qui a créé la série et les personnages comme le capitaine de l’Orville, Ed Mercer, le voulait.
"Nous la voyons véritablement comme une série de comédie dramatique de science-fiction, a déclaré MacFarlane aux journalistes lors de la tournée de presse de la Television Critics Association. "La série ne peut pas être seulement gag-gag-gag-gag-gag. Il doit y avoir une certaine réalité d’où proviennent les plaisanteries." Il ajoute que The Orville ne s’aventure jamais en satire directe, à la Spaceballs."
Cela pourrait surprendre tous ceux qui ont vu les bandes-annonces de The Orville, qui "se sont fortement penchées sur la partie comédie," admet MacFarlane. "La comédie prend une grande place dans la série... mais c’est pièce d’une forme géométrique plus grande. La série cherche à aller sur un nouveau terrain, au niveau de la tonalité."
The Orville n’est pas sérialisée, donc elle est libre de passer d’histoires plus légères à des plus sérieuse d’une semaine à l’autre, MacFarlane explique : "Chaque semaine, vous voyez un petit film et chaque histoire est différente. Et, au niveau du ton, il y aura quelques écarts. Mais les personnages sont toujours les personnages." Il cite Star Trek : The Next Generation comme une référence, qui avait "un grand épisode en deux parties sur les Borg, qui était suivi la semaine suivante par une histoire sur Picard allant en France rencontrer son frère dans une cave... Et je me souviens avoir pensé : "Dieu, c’est comme ça que la télévision devrait être. Vous devriez pouvoir écrire n’importe quel type d’histoire chaque semaine et surprendre votre public."
MacFarlane voit finalement The Orville comme un antidote à la vague actuelle de série de science-fiction dystopiques comme The Walking Dead. "Je me trompe l’espace d’aspiration et d’aspiration que Star Trek avait l’habitude d’occuper. Tout le monde ne peut pas être The Hunger Games. Ce ne peut pas être le scénario du cauchemar ", dit-il. « Je suis fatigué que tout soit sombre et dystopique. Il me manque le côté espoir de la science-fiction. "
"L’espace progressiste et ambitieux qu’occupait Star Trek me manque. Tout ne peut pas être comme Hunger Games. Ça ne peut pas être que du scénario catastrophe. Tout ce qui est sombre et dystopique me fatigue. Le côté optimiste de la science-fiction me manque."
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