Les politichiens ? Du nouveau...
NuqneH !
Je vous ai déjà plusieurs fois parlé de cette race qui pullule dans certaines contrées, s’acharnant à s’accrocher aux vies des autochtones tels des sangsues, pompant le sang, s’attribuant les énergies, désespérant les âmes les plus fortes. Les scientifiques viennent de publier de nouvelles études…
Ces politichiens, parasites que Dieu n’a pu créer, tant ils sont loin de la nature, se reproduisent avec une rapidité absolument inimaginable. Ils sont toujours là, à monopoliser les télés, radios et autres médias, à déverser leur bile sur tout ce qui bouge…
Car c’est cela leur plus grande malfaisance : leur bile.
Dès qu’un politichien d’un autre clan dit quelque chose, leur organisme déclenche automatiquement une sécrétion de bile amère, qu’ils déversent incontinent sur l’opposant, avant même d’avoir entendu – compris ? – ce qu’il voulait dire.
Ils sont tant poussés à la critique qu’ils en arrivent même à se démolir entre membres d’un même clan…
La critique étant leur nature première, tout est bon pour satisfaire ce besoin élémentaire. Inventer des histoires sans queue ni tête, exagérations ridicules, tout est bon du moment que leur agressivité trouve un exutoire.
Les scientifiques se sont toujours étonnés, en les étudiant, de voir que les politichiens survivent aussi facilement. En effet, ce système de dénigrement systématique ne leur a jamais permis de construire quoi que ce soit de vraiment utile et pérenne.
Et pourtant, ils se reproduisent avec une rapidité qui laisserait pantois les la-pins les plus prolifiques. Les jeunes succèdent aux plus anciens avec le même amour de la critique systématique, la même inefficacité…
C’est une des rares espèces qui n’évolue pas, Monsieur Darwin !
C’est d’ailleurs pourquoi ils sont si interchangeables, passant d’un Sinistère à l’autre, avec la même inutilité…
Et les humains qui vivent dans leur sillage se retrouvent bien obligés de les supporter, car ils secrètent, en même temps que leur bile, une sorte d’aphrodisiaque, tout comme le moustique inocule un anticoagulant lorsqu’il pique…
Mais attention, ne les confondez pas avec les Politiciens, ces hommes et femmes réellement au service de la population. On les différencie facilement car ces derniers, au contraire de leurs pâles imitations, ne se préoccupent que très peu d’être en exergue, leur dévouement leur suffit…
Je vais maintenant chasser ces mauvaises pensées dans un bon lit…
Et comme disait Khaless : « Leur en veut, à ces Politichiens. Serait jaloux ?… »
Qapla’
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