Défis Fantastiques : La critique de l’Ombre d’Elim
L’OMBRE D’ELIM
Type : Campagne Format : Livre de 238 pages N&B, couverture souple Auteurs : M. Gascoigne, P. Tamlyn Éditeur : Scriptarium Illustrations : J. Sibbick, R. Nicholson, L. Hartas, Jidus Édition Française : Oui P.P.C. : 38 euros
DESCRIPTION
"L’Ombre d’Elim est une campagne de quatre scénarios pour Défis Fantastiques – le Jeu de rôle.
Il s’agit de la traduction des scénarios de Marc Gascoigne et Pete Tamlyn présents dans les ouvrages Dungeoneer, Blacksand ! et Allansia qui ont jeté les premières pierres du jeu de rôle Advanced Fighting Fantasy, modernisé par Graham Bottley. Outre cette passionnante aventure qui fera parcourir aux Héros l’Allansia, dont la célèbre ville du Port du Sable Noir, vous trouverez une grande quantité d’illustrations d’époque du regretté Russ Nicholson et de John Sibbick inédites jusqu’à maintenant en France. Les plans ont été améliorés par un autre grand nom des LDVELH en la personne de Leo Hartas et des dessins couleurs de Jidus ont été ajoutés en en-tête de scénarios.
Le tout est agrémenté d’une carte séparée couleur au format A3 de l’Allansia occidentale par Jidus, et des éléments des toutes dernières sources publiées en 2022."
LA CRITIQUE
Cette campagne est épique et elle représente bien ce que les Défis Fantastiques peuvent offrir de mieux, une suite de situations simples mais assez imagées pour enflammer l’imaginaire.
Tout ceci est plaisant à souhait, surtout si l’on sait que ces scénarios ont été illustrés par deux grands noms : Russ Nicholson (dans le magazine White Dwarf, entre autres), qui est décédé et à qui l’ouvrage est dédié, et John Sibbick (la couverture mythique de la première édition du jeu de rôle Warhammer, c’est lui), qui sont des monstres de précisions et qui démontrent, à jamais, que l’illustration ne peut être laissée à une machine, aussi artificiellement intelligente qu’elle croit l’être, tant la composition et la précision y est de mise.
Les plans ont aussi été refaits.
L’ensemble promet des heures d’aventures old-school, sans prises de tête, mais avec un vilain plaisir de revenir à l’essentiel.
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