2012 : L’église offensée par la destruction du christ dans le film de Roland Emmerich

Date : 21 / 03 / 2010 à 00h20

On se souvient que Roland Emmerich souhaitant ne pas offenser la communauté musulmane avait décidé de ne pas détruire de lieux Islamistes dans son film catastrophe 2012 mais il n’a pas eu de remords à s’en prendre à des symboles Chrétiens comme la fameuse statue géante du Christ de Rio de Janeiro.

Il aurait du y réfléchir à deux fois, pour ce symbole aussi. En effet l’église catholique du Brésil a annoncé qu’elle intentait un procès en demandant des dommages et intérêts à Columbia Pictures pour avoir montré cet endroit aussi symbolique détruit dans un apocalypse mondial dans le film sorti l’année dernière.

L’archevêché de Rio possède les droits à l’image de cette statue haute de 40 mètres érigée en 1931 et qui surplombe Rio ses bras grands ouverts.

Columbia aurait demandé la permission de représenter la statue dans son film mais s’est vu refuser ce droit. N’ayant pas tenu compte de ce refus, ils font face maintenant à la colère de l’église... Mais jusqu’où peuvent aller les choses. Avaient-ils le droit de détruire la Tour Eiffel dans G.I. Joe ? Et les Égyptiens devraient s’en prendre aux Transformers aussi... En même temps c’est une bonne pub pour la sortie du DVD.


Les illustrations des articles sont Copyright © de leurs ayants droits. Tous droits réservés.



 Charte des commentaires-- 


R.I.P. : Michel Blanc est mort
R.I.P. : Hécatombe à Hollywood
R.I.P. : Maggie Smith est morte
R.I.P. : La voix de Dark Vador, James Earl Jones, s’est (...)
R.I.P. : James Darren est mort
Arcane : Critique 2.09 La terre sous tes ongles FINAL
DC : Plusieurs films R-Rated en développement
The Boys : Les craintes de Eric Kripke
The Day of the Jackal : Menteur ou acteur, mêmes combats selon (...)
Sgt. Rock : Daniel Craig prêt à jouer au Captain America du DCU (...)
Les Reines du drame : La critique
Tulsa King : Sylvester Stallone pave la voie pour les saisons 3 (...)
Brèves : Les informations du 25 novembre
Le balayeur des Lilas : La critique
PIFFF 2024 : Son histoire en BA