Il était une fois les séries : Larry et Balki
LARRY ET BALKI
Type : Sitcom Titre Original : Perfect Strangers Diffusion USA : ABC (1986-1993) 1ère Diffusion France : C+ (1988) Épisodes : 150 x 24 minutes Créée par : Dale McRaven Producteur Exécutif : T.L. Miller, R.L. Boyett, D. McRaven Production : Miller-Boyett Productions, Lorimar Telepictures Chanson : J. Frederick, B. Salvay Interprètes : Bronson Pinchott, Mark Linn Baker, Ernie Sabella, Lise Cutter, Rebeca Arthur, Melanie Wilson
Nous avons tous en tête, quelques images de l’époque de la série Larry et Balki, surtout celles du générique qui résume l’histoire : Balki (venu des Balkans), s’installe chez son lointain cousin Larry, vivant dans un appartement de Chicago.
S’en suit un amoncellement de gags jouant sur le contraste des deux types de vie de leurs personnages.
Larry a un quotidien bien rangé (voir maladivement inquiet) que vient bousculer la bonne humeur de Balki, qui ne comprend pas grand-chose aux gens qui l’entoure, ici, en Amérique.
Cette opposition se voit jusque dans les costumes des personnages (un costume cravate pour Larry et un habit de berger coloré pour Balki).
Avec patiente, Larry lui apprendra les us et coutumes et l’hébergera gratuitement, en échange, il ne veut rien.
Mais Balki lui apportera bien plus : le goût de la vie simple.
Aux agissements coincés, il répondra par son mythique :
Cousin Larrrrrry, ne soit pas si rrrrridicule !, par une danse, une coutume, ou un dicton de son pays.
Les situations complètement loufoques, tournant autour de maladresses et de malentendus, s’enchaîneront alors, sous l’impulsion des fumeuses idées de Larry, visant à arranger les choses, et le regard goguenard de Balki.
Leurs fiancées qui vivent dans l’appartement du dessus, ou leurs autres connaissances, en feront souvent les frais, mais jamais l’amitié de cette paire de joyeux lurons ne sera mise à mal.
Si nous n’avons pas regardé la série en entier (8 saisons et 150 épisodes tout de même), c’est que la diffusion française fut un peu malmenée, et que les deux dernières saisons sont plutôt manqués, par la volonté de la production américaine de trouver de nouvelles idées, afin de remonter l’audimat, alors en berne.
Il n’en reste pas moins que Larry et Balki demeure une série très drôle et délirante, qui sort du schéma "grande famille" souvent associé aux sitcoms.
GÉNÉRIQUE ET EXTRAITS
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