Resident Alien : Critique 2.06 An Alien in New York

 Date de diffusion : 2 mars 2022
 Plateforme de diffusion : SyFy
 Episode : 2.06 An Alien in New York
 Réalisateur : Lea Thompson
 Scénariste : Elias Benavidez
 Interprètes : Alan Tudyk, Sara Tomko, Corey Reynolds, Alice Wetterlund, Levi Fiehler, Elizabeth Bowen, Judah Prehn, Meredith Garretson, Gary Farmer, Gracelyn Awad Rinke, Taylor Blackwell, Nimet Kanji, Robert Moloney.

Harry et Asta vont à New York (donc Vancouver - s’ils avaient évité de filmer les bus bleus trop reconnaissables, on s’y serait presque cassé le nez). Ils se rendent à la pizzeria dont le numéro de téléphone s’est affiché sur l’écran de la ’radio’ de Harry et réalisent que l’indice qui va les mener à l’autre alien n’est pas dans la pizzeria mais de l’autre côté de la rue. Le cerveau hyperactif de Harry résout l’énigme et les voici sur la piste de ’Goliath’, un artiste de rue que personne ne connait mais qui pourrait bien être l’alien qu’Harry essaie de retrouver.

Asta en profite pour faire une petite incursion dans une société dont le nom apparaît dans un dossier lié à la mort de Sam, mort dans laquelle feu le vrai Harry est manifestement impliqué. Elle n’arrivera pas à y entrer, ce qui rendrait ce passage totalement inutile sauf que, pendant que Harry l’attend dans le deli du sous-sol, un homme l’aborde. Il semble connaître le vrai Harry et ils ne sont pas en bons termes. Mais dans quelle magouille trempait donc le vrai Harry ? Le plus intéressant - pour moi - dans cette scène, c’est que l’homme en question est joué par un de mes potes vancouvérois, Robert Moloney, et ça me fait toujours plaisir de voir un visage connu dans une série.

Pendant ce temps, à Patience, Liv menotte le shérif à un banc pour lui faire avouer ce qui le perturbe tant. On découvre aussi que Ben et D’Arcy fumaient des joints ensemble quand ils étaient jeunes et, en renouant avec cette vieille habitude, le maire avoue à la barmaid que sa vie de couple n’est pas si simple, surtout lorsqu’il doit s’empêcher de péter pour ne pas choquer sa douce et tendre. Ce qui explique la scène ’explosive’ de l’épisode précédent. Très subtil... (gros soupir de lassitude).

Je n’arrive toujours pas à retrouver l’ambiance déjantée de la première saison. J’ai l’impression que les scénarios sont écrits au petit bonheur à la chance et je trouve qu’ils manquent de substance. Certains personnages apparaissent et disparaissent au hasard des gags et aux dépends des arches narratives des personnages. Alors un peu bof, mais juste parce que je mets probablement la barre trop haut. Sinon la série reste indéniablement divertissante et Alan Tudyk, je ne cesse de le répéter, est génial.

RIP Numéro 42, le délicieux Nathan Fillion nous manquera.

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