James Bond 24 : Sam Mendes en fait une maladie
Quand on a commis le James Bond le plus apprécié par la critique et le plus performant niveau box-office (tout de même plus d’1 milliard de brouzouffes), on pourrait être tenté de remettre le couvert.
Eh bien Sam Mendes semble y penser à deux fois, le repas précédent ayant du mal à être digéré. L’auteur oscarisé de "American Beauty" de déclarer au Guardian : « Est-ce que j’avais envie de retourner dans une salle avec un scénariste et de commencer à travailler sur les mêmes personnages et les mêmes scénarios que ceux sur lesquels j’ai travaillé pendant les trois dernières années ? L’idée m’a rendu physiquement malade ». Cela a le mérite d’être clair et nous rassure sur l’implication actuelle des réalisateurs hollywoodiens dans le process d’écriture. Oui je sais EON Prod c’est un peu particulier.
Alors Sam, un mot aux fans déçus, lesquels à la base ne te voyait pas faire le boulot au regard de ton CV plus dramatique ? : « Je leur dis, ma vie n’est pas une démocratie. Il n’y a pas sujet à discussion. Sans déconner ? Je devrais aller sur un de ces chats pour fans de James Bond et changer d’avis ? Je ne crois pas que ça va être possible.”
Un peu de franchise fait du bien. Bonne route à toi donc et à bientôt dans les salles.
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