Le Robot sauvage : Un style d’animation novateur ?
Après Lilo & Stitch et Dragons, Chris Sanders revient à ses premiers amours avec le nouvel animé Le Robot sauvage, et le réalisateur a profité du Comic Con pour en dire un peu plus sur la technique qu’il a utilisée...
Le réalisateur a décomposé le style d’animation pour le nouveau film DreamWorks : "J’ai demandé à notre décorateur, Raymond Zibach : « Jusqu’où pouvons-nous aller ? Pourrions-nous éventuellement emporter nos peintures qui nous ont inspirées ? La destination de notre film pourrait-elle être la même que celle des toutes premières peintures que nous faisions ? »", s’est souvenu Sanders. ""Ces peintures très libres, en quelque sorte impressionnistes. Jusqu’où pourrions-nous aller dans ce sens ? Et à mon grand étonnement, elles sont arrivées jusqu’au bout. L’aspect du film est donc 100 % peint. Il convient de noter que le seul véritable élément de synthèse est Roz [le petit robot titulaire] au tout début... La surface de Roz est la seule chose de synthèse traditionnelle dans le film. Au fur et à mesure qu’il passe du temps sur l’île, sa surface sera remplacée par des coups de peinture. Ainsi, à la fin du film, il a une surface 100% peinte, tout comme chaque environnement, ciel, arbre et tout autre personnage, il devient réellement une partie de l’île."
Dans Le Robot sauvage, Lupita Nyong’o, Pedro Pascal, Catherine O’Hara, Bill Nighy, Kit Connor, Stephanie Hsu, Mark Hamill, Matt Berry et Ving Rhames sont en vedette. Le film est centré sur un robot (Nyong’o) qui se retrouve naufragé sur une île isolée, et où il devient le parent adoptif d’un oison orphelin nommé Brightbill (Connor). Le film est attendu en salles à compter du 9 octobre.
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