Louis Arlette : Le concert
Louis Arlette a sorti son premier EP le 16 septembre 2016 chez Note A Bene / Wagram.
Pour la sortie de son premier EP, Louis Arlette a donné un concert privé chez Madame Arthur. Il a ainsi interprété seul en scène les 7 titres de son album.
Utilisant son clavier et son synthétiseur, ainsi qu’un étrange instrument appelé waterphone, l’artiste a joué avec émotion et sincérité toutes ses chansons.
Certes, il ne faut pas s’attarder trop sur les paroles de ces dernières, mais la musique était vraiment sympathique et entrainante. La voix de Louis Arlette se marie d’ailleurs à merveille avec ses compositions et elles bercent, ou réveillent, au gré des mélodies.
Alternant chansons rythmées ou plus intimistes, le chanteur livre des mélopées touchantes et variées qui peuvent plaire à un public varié. Vous pouvez d’ailleurs découvrir le clip vidéo de la dernière chanson qu’il a interprété. Ce dernier a été tourné cet été dans les Alpes et a failli faire mourir de froid l’artiste dans la rivière glacée.
Le chanteur s’est entouré de divers musiciens, dont une violoncelliste pour enregistrer son EP, mixé par Stéphane "Alf" Briat et masterisé par Chab.
C’est une impression d’apaisement qui reste à l’issue d’un concert dont une mélancolie lancinante a plané sur les divers morceaux. Les mélodies restent en tête longtemps après que le chanteur se soit tu. Une belle découverte que cet artiste français qui, une fois n’est pas coutume, interprète l’ensemble de ses titres en français.
L’artiste sera en concert le 24 septembre à La Friche Richard Lenoir et le 26 octobre à Les Trois Baudets.
CLIP VIDEO
Louis Arlette Jeux D’or clip officiel
COMMUNIQUḖ DE PRESSE
Mettant à profit son expérience acquise durant de longues années en studio et sur scène au contact de groupes cultes, et avec AIR en particulier, Louis Arlette exprime sur son premier EP son talent de mélodiste et de poète.
Passionné depuis l’enfance de littérature et d’écriture, il se met à nu dans ses textes dont la force et la musicalité sont magnifiées par le chant et la richesse sonore d’une orchestration étonnante : en plus du violon et des claviers, Louis Arlette fait appel à une panoplie d’instruments et d’outils singuliers : le Waterphone, le Glassharmonica, le Fender Rhodes ou le magnéto à bandes. Cette fusion unique entre pop, musique électroacoustique et chanson française, nous emporte dans une atmosphère étrange et singulière, sombre et éclatante, tourmentée et qui sait apaisée.
La pop de Louis est un mélange de deux mondes, celui d’un savoir-faire vintage : il s’accompagne d’un matériel d’époque, un authentique Rhodes de 1979, mais définitivement ancré aussi dans son époque par ces habillages électroniques qu’il envoie entre deux phrases.
Des bidouillages qui éclairent ces chansons d’une lueur sombre mais profondément éblouissante. « Mes goûts musicaux sont partagés entre Nine Inch Nails et Radiohead, Einstürzende Neubauten ou Throbbing Gristle, sans oublier Alain Chamfort ou Noir Désir… »
Le nom de Bertrand Burgalat s’invite dans la conversation, ainé de Louis sa démarche esthétique présente de nombreux points communs. « J’aimerais surtout réussir à réunir ces univers dans ma chanson française, rassembler les références culturelles littéraires ou musicales mais également expérimentales qui m’ont marqué. Proposer une chanson française différente car personnifiée.
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