Fred et Bev vont à la Wrap Party de Stargate Atlantis dans une limousine…
20 septembre 2008 :
On a bien réfléchi avec Frank, pour savoir si nous allions diffuser mes chroniques dans l’ordre chronologique ou si nous allions frapper fort, histoire de bien vous faire marronner. Nous avons donc choisi l’option 2, c’est plus drôle !
Vous avez donc droit à deux chroniques coup sur coup cette semaine, en l’occurrence les plus récentes.
Dans la chronique précédente, je finissais en disant, bla, bla, bla… ah oui : « Demain c’est la ‘wrap party’. La soirée qui célèbre la fin de chaque saison de tournage… ».
Eh bien devinez quoi ? Bev m’a invitée à cette soirée ! Trop cool, non ? Eh oui, pleurez mes chéris, pleurez…
Le plus difficile fut de trouver une tenue adéquate. Car moi, sortie des pantalons et des pulls... Mais j’ai fait un effort, et j’ai mis, oui accrochez-vous bien, une jupe ! Les canadiens aiment s’habiller plutôt classe quand ils sortent, ce n’est pas comme chez nous où les gens vont en jeans au théâtre… Bref, j’ai à peu près réussi à ressembler à une fille comme vous pourrez le constater sur les photos.
La soirée se déroule dans le centre de conférence du Sheraton, en centre ville. Bev et moi habitons en périphérie, de même que l’ingénieur du son de Stargate Atlantis, qui nous propose de faire le trajet en limousine en sa compagnie ainsi que de deux autres nénettes. Comme dans les films, avec la musique et le champagne. On n’a juste pas osé faire les cons avec le toit ouvrant, on a tous passé l’âge !
Nous arrivons au Sheraton et montrons patte blanche à l’entrée, où l’on nous remet un ravissant bracelet de papier bleu, preuve que nous avons bien le droit de nous trouver là. Et puis nous nous dirigeons vers le bar où nous tombons nez à nez avec… Joe Flanigan. Bev me présente, nous nous serrons la main, et il repart sauver le monde. Pour info, il est aussi mal coiffé dans la vraie vie que dans la série. Au loin, Jason Momoa fait son sketch habituel, bondissant dans tous les sens pour être sûr qu’on le remarque bien.
Les boissons sont servies à volonté. Pas de champagne, je suis surprise. Ils ont dû considérer que c’était juste un peu trop festif pour un enterrement… Non, je suis un peu dure là !
La nourriture est exquise, notamment un sauté de champignons des bois à la crème… j’en salive encore !
La décoration est minimaliste, aux armoiries de la MGM. Dans un coin, deux tables de Black Jack et des chaises de massage. Je profite que l’une d’entre elles soit vide pour me faire triturer le dos. Pendant 20 minutes, je n’entends quasiment plus la musique assourdissante… Le pied !
Je retourne socialiser un peu… en gros, je reprends ma position de chien fidèle derrière Bev, car je ne connais pas grand monde, à part les techniciens rencontrés sur le plateau. Joe Mallozzi s’approche de nous avec un caméscope à la main. Il nous filme quelques secondes et s’interrompt pour papoter avec Bev. Elle me présente, je dis à Joe que je suis fan de son travail, il dit que c’est gentil, je lui dis que non, ce n’est pas pour lui faire plaisir, c’est sérieux. Je crois qu’il apprécie, d’ailleurs il accepte de se faire prendre en photo avec moi.
Brad Wright fait un petit speech, on projette des extraits d’Atlantis…
Nous continuons notre promenade et tombons sur Paul McGillion qui me reconnait et me fait le baisemain. Cet homme est adorable. Et hop, nouvelle photo.
Pendant que Bev tape la causette avec Amanda Tapping, je discute avec Todd le Wraith, qui joue aussi dans Sanctuary (Bigfoot). Bev interromp sa conversation pour demander à Amanda si elle se souvient de moi. Oui, elle se souvient et me serre poliment la main. Je me demande de quoi exactement elle se souvient…
La soirée continue de battre son plein, et on rejoint le compagnon de Bev qui est resté à l’extérieur, en pleine conversation avec Robert Picardo. Il me présente, et Robert dit se souvenir de moi. Il me complimente très gentiment sur ma tenue, ouf, je ne me serai pas fait iéch pour rien ! Et une photo de plus, une ! Paul McGillion nous rejoint et nous passons un agréable moment à papoter.
Mais l’heure tourne et mes nouvelles chaussures commencent à me faire souffrir. Il est temps de rentrer. Je suis triste de ne pas avoir pu saluer ni Rachel Luttrell, ni David Hewlett à qui j’aurais voulu dire un mot gentil car je sais comme il est triste que la série s’arrête. Il s’était vraiment investi à fond et avait fait du super boulot. Il me manquera.
Je pense bien à vous et je compatis…
Fred
Les illustrations des articles sont Copyright © de leurs ayants droits. Tous droits réservés.