Annecy Festival : Netflix montre la production Dreamworks Orion and the Dark

Date : 14 / 06 / 2023 à 10h00
Sources :

Unification


Le prochain film de Dreamworks va être diffusé sur la plateforme de streaming Netflix. Le long-métrage sera intitulé Orion and the Dark

Le film est écrit par Charlie Kaufman (Eternal Sunshine of the Spotless Mind). Il sera réalisé par Sean Charmatz (Troll World Tour). Son casting compte Jacob Tremblay dans le rôle d’Orion, Paul Walter Hauser dans le rôle de l’Obscurité. Werner Herzog prètera également sa voix à un personnage.

L’histoire est basée sur le livre d’Emma Yarlett. Orion est un écolier qui parît tous ce qu’il y’a de plus normal. Pourtant, c’est jeune garçon anxieux qui vit avec une myriade de peur. Une les supplante toute, celle de l’obscurité. L’incarnation de sa pire peur va alors lui rendre visite pour lui prouver qu’il n’a rien à craindre la nuit. Orion doit alors apprendre à accepter l’inconnu et embrasser la joie de vivre.

A découvrir sur Netflix en 2024.

Orion And The Dark



Les films sont Copyright © Netflix et les ayants droits Tous droits réservés. Les films, leurs personnages et photos de production sont la propriété de Netflix et les ayants droits.



 Charte des commentaires 


Projet Netflix : Zack Snyder passe au commissariat du (...)
Back in Action : Le teaser du film d’espions avec Cameron (...)
Sous la seine : Un tournage et des intrigues pour la (...)
Ellian et le sortilège : La première véritable bande (...)
The Electric State : Le Teaser du film Netflix et une date de (...)
Le Film du Dimanche : Visionnez L’Étrange Mr. Slade
X-Files : Gillian Anderson révèle ce qui l’a poussée à (...)
Heretic : La critique
Arcane : Critique 2.08 Tuer est un cycle
Livre SF : L’île Habitée de Arkadi et Boris Strougatski - (...)
The Fantastic Four - First Steps : Le film n’est (...)
Star Wars - Visions : La saison 3 confirmée... et programmée (...)
Brèves : Les informations du 24 novembre
Storybook Vale : Le nouveau DLC de Dreamlight Valley est (...)
Clementine : La critique du tome 2