Arrow : Review 2.18 Deathstroke
EPISODE
Episode : 2.18
Titre : Deathstroke
Date de première diffusion : 2 avril 2014 (CW)
Réalisateur : Guy Bee
Scénaristes : Marc Guggenheim & Drew Z. Greenberg
NOTRE AVIS
Après un très bon Birds Of Prey, Arrow continue sa pente ascendante vers le season finale et on s’en réjouit d’avance !
Une fois de plus, Slade triomphe tout au long de l’épisode, gagnant sur tous les fronts et laissant Oliver dans une situation plus que désespérée. Mais Slade ne se contente pas de menacer ou de tuer, c’est un véritable maître dans l’art de la stratégie (souvenez-vous qu’il avait promis à Oliver qu’il allait le faire souffrir : disons que les mensonges d’Oliver font autant de mal que les opérations coup de poing de Slade). Manu Bennett, une fois de plus impérial dans toutes ses scènes. Thea (qui voit son monde brutalement s’effondrer par la violence de Slade et sur l’identité de son père biologique - une occasion pour le personnage d’être enfin sur le devant de la scène ? On l’espère !) et Laurel (désormais au courant de l’identité secrète d’Oliver - ça promet pour la suite !) sont les premières à avoir une leçon de vérité de la part de Slade, une partie de son plan de diversion pour déstabiliser Oliver et ça marche !
Roy se rebiffe enfin contre l’immobilisme des comparses d’Oliver par rapport à Thea, il claque la porte, quitte Starling City et ça fait plaisir ! Permettant au passage de multiples orientations possibles pour le personnage, vivement la suite ! Même si la tendance de Sara à vouloir employer ses vieux réflexes de membre de la Ligue des Assassins est franchement beaucoup trop redondant et tellement prévisible...
Le duel Slade versus Oliver revient également sur le devant de la scène, non seulement des affrontement verbaux mais aussi physiques (pas nécessairement face à face) apportant pas mal de scènes d’action au passage, ce qui n’est pas pour nous déplaire !
En revanche, voir Laurel s’excuser auprès de Sebastian Blood est aussi décevant que de l’avoir vue s’excuser auprès de Sara, il en est de même pour le manque de surprise par rapport aux ultimes motivations d’Isabel Rochev (tellement prévisible, mais aussi assez mal amené) et bien entendu, Shado en hallucination aussi bien dans les flashbacks que dans le présent (chose qui était déjà à demi-révélée dans la première partie de la saison).
BANDE ANNONCE