Arrow : Review 2.10 Blast Radius
EPISODE
Episode : 2.10
Titre : Blast Radius
Date de première diffusion : 15 janvier 2014 (CW)
Réalisateur : Rob Hardy
Scénaristes : Jake Coburn & Keto Shimizu
NOTRE AVIS
Avec une fin telle que celle de 2.09 Three Ghosts, on aurait pu espérer un maintien de la cadence voire une montée en puissance de la trame scénaristique principale, mais 2.10 Blast Radius n’est rien de cela hormis quelques bonnes petites surprises.
Doté d’une scène d’ouverture bien soutenue et bien mise en scène en matière d’action, Arrow ne perd pas de temps et continue d’aller à l’essentiel du sujet : la traque du vilain monsieur au masque sinistre. Car si on sait qui est derrière le masque et qui est le big boss du plan qui se trame contre Oliver, celle qui va faire avancer les choses va en surprendre plus d’un. Et quel soulagement d’avoir fait intervenir Laurel dans cette storyline ! Elle qui est si souvent en retrait, voire littéralement au bord du gouffre depuis la mort de Tommy, a enfin la possibilité de réagir face à ce qui se profile. Comment ? En utilisant ses dons d’avocates et son intuition, elle découvre que le charmant Sebastian Blood n’est pas vraiment celui qu’il prétend être alors qu’Oliver (costumé en justicier) pactise avec ce dernier après lui avoir sauvé la vie du pas vraiment Mr Explosif Shrapnel (Sean Maher).
Un Sebastian Blood toujours aussi bien détestable qu’adorable avec lequel les scénaristes s’amusent à cœur joie et on ne va pas s’en plaindre !
Autres surprises agréables réservées : des nouvelles de Barry (même si franchement, la réaction d’Oliver envers Felicity est trop exagérée et la dernière scène entre les deux partenaires manquait vraiment de crédibilité), le retour de l’association Quentin Lance/Oliver (Justicier) qui enquêtent sur le vilain monsieur masqué (ça ne serait pas de refus de voir ce genre de scène plus souvent !). Les scènes entre Diggle et Oliver (seuls sans Felicity) manquaient énormément à la série depuis une bonne poignée d’épisodes, mais malheureusement la soudaine inefficacité du garde du corps en informatique (forçant ainsi Felicity à revenir à Starling City) et son abandon immédiat gâche l’opportunité de voir les deux hommes se débrouiller comme ils le faisaient avant l’arrivée de la bondinette à lunettes et par la même occasion de voir Diggle être un peu plus sur le devant de la scène en tant qu’équipier d’Oliver.
Quant à Roy, bizarrement, il parvient à s’adapter beaucoup plus facilement que Slade dont l’état déplorable sur l’île est un véritable crève cœur.
BANDE ANNONCE