Doctor Who : Ce qu’il faut pour être une bonne compagne
Lors d’une interview au Doctor Who Magazine, Steven Moffat – qui a récemment déclaré qu’un Docteur sans compagnon le déprimerait – s’est amusé à nous faire savoir que l’arrivée de la petite nouvelle, Jenna-Louise Coleman dans l’épisode de Noël allait en choquer certains malgré les éléments familiers de l’histoire.
« Ce sera différent et c’est cette différence qui va choquer, je pense. En ce qui concerne les compagnons, dire qu’ils sont tous pareils ne sonne pas aussi faux ou artistiquement merdique que ça en a l’air.
« Quel est le genre de personne typique qui s’enfuirait avec le Docteur ? Ils seront tous un peu fous. Ne se sentiront pas tellement à leur place. Ne seront pas heureux où ils sont. Ont-ils envie d’Espace ? Ce sont des gens qui pensent qu’elles pourront gérer le Docteur, qui est quelqu’un de plutôt intimidant. Ils seront aussi fougueux. Il définit en quelque sorte les personnes qui vont voyager avec lui. La distinction vient en fait des acteurs et actrices. Ce sont eux qui créent les différences entre les compagnons. Malgré tout, ce sera toujours un même type de personne puisque c’est toujours le même homme qui les choisit. »
Et Moffat d’ajouter, concernant le fait que le Docteur choisit toujours de jeunes et jolies compagnes pour l’accompagner dans ces aventures :
« Je pense que la fonction de compagne est plutôt simple. C’est juste une question de savoir qui est susceptible de l’accompagner dans le TARDIS. Qui le fera ? Une mère de quinze enfants ? Non. Une sexagénaire ? Non. Va-t-il y a avoir une tranche d’âge particulière ? Je veux dire… qui va tomber amoureuse du Docteur ? Franchement ! C’est plus qu’un format, c’est une idée développée pour de bonnes raisons. »
Et n’oubliez pas, la nuit Doctor Who c’est ce soir !
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