The Flash : Review 1.02 Fastest Man Alive

Date : 20 / 10 / 2014 à 12h00
Sources :

Unification


Comparer The Flash à Smallville parait excessif, car en dépit des super-pouvoirs et des dégâts causés par une catastrophe (l’accélérateur de particules pour l’un et la pluie de météorites pour l’autre), les deux séries n’ont rien à voir. L’ambiance n’est pas du tout la même, l’écriture et l’interprétation sont sensiblement différentes.

À l’instar d’Arrow, Fastest Man Alive nous permet de constater avec soulagement que Barry a bien du mal à concilier vie/destin de superhéros et expert de la police scientifique malgré ses pouvoirs. Et justement les premières conséquences de ses pouvoirs sont explorées : un début de popularité à Central City (le super-héros commence à taper dans l’œil d’Iris - voilà une trame intéressante) et l’excès de ses pouvoirs. On apprécie toujours autant les références à la série des années 90 avec l’accident de tapis roulant ou encore la carence en sucre due à l’excès d’utilisation de ses pouvoirs.

Barry et ses relations avec Joe et Henry sont également abordées, aussi bien par le biais de flashbacks (plutôt réussis, d’ailleurs) que dans le présent et malgré les interprétations toujours aussi géniales de Grant Gustin et John Wesley Shipp, le cas du détective West est franchement déplorable. On a beau apprécier tous les efforts qu’il a fait pour éduquer Barry, le doute qu’il a envers ce dernier revient sur le dessus alors que l’affaire était censée être réglée dans le pilote. Bien entendu, s’en suivent des excuses quasi-immédiates : le gros point noir de l’épisode.

Quant à la relation Barry/Iris, elle est toujours aussi attachante, dynamique et la danse qu’ils risquent d’exécuter (elle tentant de découvrir qui est le mystérieux sauveur de Central City) si Iris persiste dans ses recherches va rendre le tout encore plus animé !

Du côté de S.T.A.R. Labs, on déplore encore une fois l’humour maladroit de Cisco et il serait bien plus intéressant de le voir faire autre chose que de lui faire trouver des noms de super-méchants. En revanche, Caitlin commence à s’affirmer de plus en plus et ça fait plaisir à voir ! Espérons que ça continue ! Mais celui qui ne cesse de nous surprendre c’est Harrison Wells. Déjà la scène finale du pilote lançait tout un tas d’interrogations, mais lorsqu’il rend visite à Simon Stagg (William Sadler - trop peu présent dans cet épisode) pour se débarrasser de lui, la liste de questions au sujet de Wells devient encore plus impressionnante. Seulement, on souhaite que le mystère entourant Wells ne va pas trop s’éterniser.

Enfin, Multiplex est plutôt réussi visuellement et relégué au second plan (fort heureusement), mais le personnage manque cruellement d’intérêt en raison de ses motivations “classiques”.


EPISODE

- Episode : 1.02
- Titre  : Fastest Man Alive
- Date de première diffusion : 14 octobre 2014 (CW)
- Réalisateur : David Nutter
- Scénaristes : Histoire de Greg Berlanti et Andrew Kreisberg ; adaptation de Andrew Kreisberg et Geoff Johns

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