Once Upon a Time : Michael Raymond-James parle de ses moments préférés de la saison (Spoilers)

Date : 12 / 05 / 2013 à 20h10
Sources :

Source : Collider


Avec les deux épisodes du final de la saison 2 intitulés Second Star to the Right et Straight on Till Morning, il est clair que la série d’ABC Once Unpon a Time va explorer le monde de Neverland.
Alors qu’Emma (Jennifer Morrison) croit que la fiancée de Neal (Michael Raymond-James), Tamara (Sonequa Martin-Green) a quelque chose à voir avec la disparition de Regina (Lana Parrilla), le jeune Bae (Dylan Schmid) se retrouve dans le Vieux Londres et est pris par la famille Darling quand il se lie d’amitié avec leur fille Wendy (Freya Tingley).

Collider : Quand vous avez fait votre première apparition dans la série, saviez vous que vous seriez éventuellement de retour et aussi proche de certains personnages ?

MICHAEL RAYMOND-JAMES : Oui. Dès le premier rendez-vous, Adam (Horowitz) et Eddy (Kitsis)m’ont décrit ce qu’ils avaient à l’esprit et où le personnage allait et d’où il venait. Donc j’ai su d’entrée de jeu ce qui m’attendait. Ils étaient si enthousiastes en me racontant leur histoire que j’ai été intoxiqué. J’étais impatient de grimper à bord et je suis vraiment heureux de l’avoir fait. Ce fut tellement de plaisir ! J’ai retrouvé mes dix ans.

C : En tant qu’acteur, quand vous réfléchissez à l’approche de votre personnage et de qui il est, comment vous organisez vous dans votre tête pour ne pas jouer juste le fils de Rumplestiltskin, mais aussi savoir que les grand-parents de votre fils sont Blanche Neige et le Prince Charmant ? Avez-vous juste à vous concentrer sur son côté humain ?

M R-J : Eh bien, j’ai eu des pages et des pages de notes. En tant qu’acteur, le personnage que je joue vit dans un monde de contes de fées et de magie, et des trucs comme ça, mais pour lui c’est sa réalité. Ce n’est pas un pays de fausses croyances. C’est un pays d’absolu. Tout y est ancré dans la réalité, alors, en tant qu’acteur, j’essaie de l’approcher à partir de cette réalité et j’essaie de planter mes pieds dans ce monde. Cela n’a pas d’importance que je parle de magie. Tout cela doit être bien implanté dans la réalité.

C : Quelles ont été les plus grosses surprises, pour vous, dans votre arc de l’histoire ?

M R-J : La longueur de l’arc, et combien peut être longue ou courte la quantité de temps pour en arriver quelque part, c’est quelque chose dont je n’avais pas idée. Au delà de cela, je savais à quoi m’attendre et comment m’y préparer. Quand je me promenais dans New York en écoutant Lou Reed, je savais qui il était et ce qui se passait. Je pense que c’est important en tant qu’acteur, de toujours savoir où va l’histoire, et pouvoir ainsi vous mouvoir d’un point à l’autre. Mais ceci étant dit, ça n’est pas pour dire qu’il n’y a pas quelques questions digne d’intérêt genre « Oh ça c’est intéressant. D’où ça vient ce truc et comment tout cela va se connecter ensemble ? »

En tant qu’acteur, et membre du public, c’est important de se rappeler que le futur va plus loin définir le sens du présent, avec une série comme Once Upon a time. Par moments on collecte différents points, et à d’autres moments on les relie ensemble, mais vous savez que les points que vous collectez seront éventuellement connectés.

C : Sans en dévoiler trop, que pouvez-vous dire sur ce qui va arriver à votre personnage dans ces deux derniers épisodes ?

M R-J : Beaucoup de choses vont arriver. On va commencer à découvrir des affaires en souffrances entre lui et Emma (Jennifer Morrison) et aussi avec son père (Robert Carlyle). Les choses restent compliquées, parce qu’il y a un lourd bagage, dans chacune des deux relations. Et on ne fait que commencer à en gratter un peu la surface. Ces deux derniers épisodes sont tout bonnement sensationnels !

C : Jaloux que les flashbacks sur le personnages ont toujours montré votre personnage enfant, vous privant de passer vous même du temps dans un les mondes des Contes de Fées ou Neverland ?

M R-J : Je pense que Dylan (Schmid) fait un travail fantastique avec le jeune Bae. Peu importe qui le joue de moi ou de Dylan. C’est le même personnage.
Ce qu’il fait dans ces flashbacks nous informe sur ce que je deviens à Storybrooke et à New York, où que ce soit. Et puis avant tout, je ne suis pas du genre jaloux.

C : Avez-vous un moment favori dans la série, pour votre personnage ?

M R-J : Et bien, j’adore l’épisode de Manattan. Je viens là pour protéger Emma, et suis nul, et j’ai affaire à mon père. Donc je le vois pour la première fois en cent ans, et je découvre que j’ai un fils dont je ne savais rien. Bobby (Carlyle) a parfaitement résumé le jour du tournage. Il a dit « C’est comme si tu attendais le bus à l’arrêt et que soudainement il en arrive quatre en même temps et que tu essaies de monter à bord de tous les bus. » Cela a été incroyablement plaisant de trier tout ça et le rendre réel et deviner comment ça allait fonctionner. C’était intimidant à lire sur le papier.


Once Upon a Time est Copyright © ABC Studios Tous droits réservés. Once Upon a Time, ses personnages et photos de production sont la propriété de ABC Studios.



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