Cold Case - Les Couleurs de l’oubli : La critique du jeu d’enquêtes

 Type : Enquête
 Auteurs : J.M. Bichoffe
 Éditeur : Culinario Mortale
 Audio : Studio Anatole
 Nombre de joueurs : 1 à 5
 Âge des joueurs : 16 ans et plus
 Durée d’une partie : 120-240 minutes
 Édition Française : Oui
 Extensions : Non
 Prix constaté : Moins de 27 euros

"La découverte d’un corps bouleverse le milieu artistique bordelais. Claire Lambert, talentueuse restauratrice et experte en objets d’art, est retrouvée pendue dans son atelier.

La police pense d’abord à un suicide, mais des doutes quant aux circonstances de la mort surviennent après l’autopsie. La thèse d’un homicide ne peut être entièrement écartée.

Bien que les enquêteurs ne soient parvenus à identifier plusieurs suspects au sein de l’entourage de la victime, il ne semble pas y avoir de charges suffisantes justifiant une inculpation. L’enquête patine et l’affaire Claire Lambert finit par être classée sans suite."

En tant que membres d’une unité spéciale, vous enquêtez sur des affaires de meurtres non résolues.

Vous devez pour cela vous plonger dans les dossiers, consulter les documents à votre disposition, examiner de vieilles coupures de journaux et écouter les enregistrements d’interrogatoires réalisés à l’époque. Vous avez le droit de recourir à tous les outils à votre disposition pour résoudre l’affaire.

Ce jeu d’enquête se passe d’instructions ; vous n’avez qu’à vous lancer. Vous recevez le dossier d’enquête et votre première mission, puis c’est à vous de jouer. Le but du jeu est de résoudre l’enquête, seul·e ou en équipe. Pour y arriver, vous devez examiner attentivement tous les documents, suivre les indices cachés et croiser les informations. Vous pouvez vérifier la solution de chaque mission en ligne et obtenir jusqu’à trois indices par tour, dans le cas où vous seriez dans l’impasse. Chaque indice vous rapproche un peu plus de la solution.

Cold Case - Les Couleurs de l’oubli a tout ce que je demande à un jeu d’enquête :

 Une ambiance réaliste : photos, fac-similés de documents...

 Une bonne histoire : c’est un policier, il y a son lot de fausses pistes, et la solution ne tombe pas toute cuite dans la bouche, il va falloir être malin et se creuser les méninges.

La bonne idée est de laisser aux joueurs la possibilité d’utiliser toutes les ressources dont ils pensent avoir besoin (un accès internet bien évidemment, est indispensable), ce qui rapproche l’impression de participer à une véritable enquête et pas seulement de faire une partie de jeu de société.

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