The Ark : Critique 1.09 The Painful Way
THE ARK
Date de diffusion : 29/03/2023
Plateforme de diffusion : Peacock
Épisode : 1.09 The Painful Way
Réalisateur : Orsi Nagypál
Scénariste : John-Paul Nickel
Interprètes : Christie Burke, Reece Ritchie, Richard Fleeshman, Stacey Michelle Read, Ryan Adams, Pavle Jerinić, Shalini Peiris, Christina Wolfe, Tiana Upcheva, Paul Murray, Mercedes De La Cruz, Samantha Glassner, Tamara Radovanovic
LA CRITIQUE
Le neuvième épisode de The Ark est très bon et donne à nouveau l’occasion de se pencher sur des intrigues humaines.
Le scénario de John-Paul Nickel montre que suite à l’arrivée de nouveaux protagonistes, deux camps s’organisent et la mutinerie gronde.
Les différents personnages se retrouvent donc devant des choix compliqués, d’autant que c’est leur survie à long terme qui se joue.
Christie Burke est excellente dans le rôle d’un commandant essayant de toujours faire les bons choix. Richard Fleeshman est très sympathique en second qui la soutient. Stacey Michelle Read est fort bon en jeune génie du vaisseau. Shalini Peiris est attachante en médecin. Reece Ritchie est impeccable en gradé ambigu. Tiana Upcheva est très juste en ingénieure. Pavle Jerinić est formidable en responsable de la sécurité. Tamara Radovanovic est intéressante dans le rôle de son adjointe. Tout comme Christina Wolfe en psychologue. Et Paul Murray et Mercedes De La Cruz forment un couple d’enfer.
S’il y a toujours des éléments techniques importants dans le récit, dont certains s’appuient sur de beaux effets spéciaux, ce sont vraiment les relations entre les différents personnages qui font tout le sel de l’épisode.
En effet, au fil des deux tiers précédent de la saison, des affinités ont vu le jour et ces dernières sont mises à rude épreuve devant les choix fait par certains et l’apparition d’un homme charismatique qui ne fait pas toutefois pas l’unanimité.
On continue de s’attacher encore plus à des personnages qui sont vraiment humains et ont des sentiments exacerbés par le microcosme dans lequel ils évoluent depuis des mois en huis clos et par le danger permanent de mourir à tout moment.
La mise en scène d’Orsi Nagypál bascule de l’un à l’autre jusqu’à un final particulièrement intrigant qui promet d’offrir enfin des explications sur certains éléments servant de fil rouge au récit.
Heureusement d’ailleurs que l’écriture de celui-ci est toujours très soignée. En effet, entre des costumes qui ne varient pas beaucoup et l’environnement intérieur du vaisseau semblant constitué de cinq salles, d’une chambre et d’un couloir que l’on décline à l’infini, ce n’est pas à ce niveau-là que l’on a l’impression de voyager dans un vaisseau spatial futuriste.
Le neuvième épisode de The Ark est très bon et permet de voir la manière dont les allégeances évoluent et se figent dans un nouveau rapport de force. Avec une histoire continuant de retenir l’attention et des personnages intéressants, l’œuvre continue d’être agréable à regarder.
Sympathique et humain.
SYNOPSIS
Dans le futur. Des missions de colonisation ont commencé pour assurer la survie de la race humaine. La première de ces missions, à bord d’un vaisseau spatial connu sous le nom d’Ark One, est victime d’un événement catastrophique qui provoque des destructions massives et des morts. Avec plus d’un an avant d’atteindre leur planète cible et un manque de fournitures vitales, l’équipage restant doit maintenir le cap pour arriver à destination.
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