NYCC 2019 - Daybreak : Les lycéens et l’apocalypse

Date : 07 / 10 / 2019 à 11h30

Par : Christophe Dasse

Sources :

Syfywire

Daybreak, l’adaptation à venir post-apocalyptique de Brian Ralph pour Netflix, a eu droit à son premier panel de Comic Con à New York. Les armes nucléaires ont été larguées, Glendale s’est retrouvé indemne (en quelque sorte), et tous les détails ont été dévoilés sur le fonctionnement du lycée lorsque celui-ci à tourné à Mad Max. La survie est la clé, et c’est une règle même, quand aller en classe est la plus grande préoccupation du jour d’un adolescent.

Une bande-annonce de la série est sortie, plus tôt cette année, mais le premier épisode a été diffusé en entier au NYCC. Matthew Broderick, Colin Ford, Sophie Simnett, Austin Crute, Alyvia Alyn Lind, Jeanté Godlock, Cody Kearsley et Gregory Kasyan, ont ensuite pris la scène aux côtés des producteurs exécutifs Aron Eli Coleite, Brad Peyton et Jeff Fierson.

La série alterne entre les époques d’avant et d’après l’apocalyptique. Lorsque la plupart des gens de plus de 18 ans se transforment en sorte de zombies avides de sang, chancelants et sanglants, les écoliers règnent. Après le largage des bombes, Ford et le reste de ses camarades d’école sont séparés en gangs contrôlant le territoire. La série, qui est une comédie lourde de référence, va dans de nombreux endroits au cours de sa première heure, y compris planter des graines pour la romance et développer une famille retrouvée. Bientôt, l’équipe se rend au centre commercial pour trouver l’amour perdu du héros... mais ils sont arrêtés par un méchant masqué qui peut être ou non leur ancien directeur.

Ensuite, le panel de talent s’est empressé de dévoiler tous les détails sanglants sur le drame adolescent qui ferait de l’ombre à Riverdale.

Apparemment, la narration à la première personne change d’épisode en épisode, emportant la série, qui est une sorte de croisement entre Zombieland et La Folle Journée de Ferris Bueller, vers des endroits différents. Les showrunners ont expliqué, qu’à partir des épisodes 2 à 3, le passage d’une narration directe à une structure de voix off plus proche de celle de Les Affranchis.

Simnett a expliqué que son amour se développe lentement à travers différentes perspectives. "Au fil de la saison, nous voyons différents aspects de sa personnalité, à savoir qu’elle est une personne réelle," a déclaré l’actrice au sujet de son personnage, qui est un peu un cliché unidimensionnel dans le pilote. Mais le remixage des éléments fait partie des objectifs de cette série, avec de nombreux éléments de film des années 80, alors que Netflix espère trouver un autre Stranger Things qui résonnera avec le public.