Il était une fois les séries TV : Etude d’un épisode de Code Quantum

Date : 10 / 11 / 2013 à 18h30
Sources :

Source :Unification


CODE QUANTUM : "Au Bout Du Rêve"


"Au bout du rêve" (en vo : "All-Americans") est un épisode de la fin de la deuxième saison de Code Quantum.

Bien qu’essentiellement de structure classique, la série se distingue par des éléments particuliers.

Seuls deux personnages et leurs relations restent permanents dans la série. Sinon les autres personnages, les lieux, les actions, les environnements changent régulièrement. A la fin de chaque épisode, on retrouve une scène de l’épisode suivant. C’est en quelque sorte un ’fil rouge’ qui lit les épisodes entre eux.

Résumé de l’épisode

Sam entre dans la peau d’un jeune joueur de football dont un des amis est poussé par un bookmaker à perdre un match. S’il ne le perd pas, le bookmaker va expulser sa famille et les dénoncer au service d’immigration.

Synopsis de l’épisode

Prégénérique... On voit le professeur Sam Beckett incarner différentes identités successivement, jusqu’à ce qu’on le retrouve comme joueur de football américain.

Sam se retrouve dans la peau d’Eddie Vega en plein match de football américain. Il se fait littéralement piétiner par un groupe de joueurs. L’hologramme d’Al apparaît à côté de lui, en faisant divers commentaires. À peine est-il redressé qu’il reçoit le ballon dans les mains et dit ’Oh Bravo !’ en voyant la meute revenir vers lui.

Générique... Des images et une voix off présentent la série. Puis, le titre de l’épisode apparaît avec une date : le 6 novembre 1962.

Retour au match...

Sam envoi le ballon à un joueur qui marque. Dans le public, un bookmaker récupère ses gains. Sur le terrain, Sam demande à Al si sa mission était de faire gagner le match à l’équipe. Al lui dit que dans ce cas il ne va pas tarder à partir. Mais, Sam ne part pas. Al sort donc sa télécommande lumineuse pour l’interroger. Sam est entouré par des joueurs de son équipe qui lui tapent fortement sur les épaules en rugissant. C’est le salut des ’Jaguars’. Sam se retrouve à terre à chaque fois qu’on le lui fait.

Dans les vestiaires, Sam cherche son casier et trouve celui où est inscrit son nom (E. Vega). Son voisin, Chuey Martinez, est son meilleur ami. Al traverse le vestiaire et faut sursauter Sam. En ouvrant son vestiaire, Sam voit dans un miroir à quoi ressemble Eddie Vega. Chuey parle des chasseurs de têtes qui étaient dans le public. L’entraîneur arrive. Il est heureux bien qu’il réprimande un peu Sam. Il n’oublie pas de le frapper sur les épaules en rugissant en partant.

En pleine nuit, une fête est organisée entre la maison des Vega et celle des Martinez, autour de la camionnette de Manuel Vega, le père d’Eddie, dont il se sert pour vendre des tacos. Manuel Vega, Celia Martinez et leurs enfants parlent d’avenir. Mais, Celia hésite quand son fils parle d’entrer dans une université éloignée.

Sam profite d’une course vers la cuisine des Vega pour parler à Al. Celui-ci commence à parler de pom-pom girl et ce n’est qu’après que Sam aît insisté qu’il commence à donner les informations trouvées. Manuel et Celia élèvent chacun seul leurs enfants. Dans le futur, Eddie deviendra médecin après avoir obtenu une bourse. Par contre, Chuey n’en obtiendra pas car il perdra volontairement la finale du championnat.

Dehors alors que la fête se poursuit, Sam ne peut imaginer que Chuey puisse accepter de perdre un match. Celui-ci insiste d’ailleurs sur le fait qu’ils vont gagner la finale.

Un peu plus loin, Manuel parle à Celia d’un restaurant qu’il veut acheter. Elle ne trouve pas l’idée intéressante. D’après les regards qu’ils échangent, on peut penser qu’ils ne sont pas indifférents l’un à l’autre. Elle se lève pour chercher des tartes.

Toujours près de la maison, Sam parle avec Al. Celui-ci parle de sa jeunesse et des femmes à Sam. Il finit cependant par dire à Sam que Ziggy confirme que Chuey perdra volontairement le match, mais il ne sait pas pourquoi.

Dans la maison des Vega, Celia se prépare à sortir avec un plateau de tartes. C’est alors que Ruben, le bookmaker, arrive. Il est aussi le propriétaire de la maison et demande à Celia de lui payer les trois mois qu’elle a de retard soit 800$. Quand elle dit que son patron ne la paye pas régulièrement, il lui fait comprendre qu’il peut aussi se payer en nature. Elle ne veut pas. Ruben s’énerve et pause un ultimatum. Sur ce, Sam et Chuey arrivent. Ruben décide de partir en lançant une phrase ambiguë à Celia. Chuey demande à sa mère de quoi il retourne et elle invente une histoire.

Sam n’est pas dupe et poursuit Ruben dans la rue. Il lui demande de ne pas ennuyer Chuey.

Le lendemain à l’entraînement. Sam est plongé dans un livre pour apprendre les règles du football américain. Al, toujours à côté de Sam, parle de femmes et d’aérobic. L’entraîneur charge Sam de l’échauffement. A ce moment, Al parle de Jane Fonda. Sam décide donc de mettre de la musique pour faire de l’aérobic. Cela ne semble pas satisfaire l’entraîneur qui lui demande de faire 15 tours de piste.

Pendant que les autres s’entraînent, Sam fait ses tours de piste en parlant à Al. Al lui parle de Ruben qui est propriétaire de masures qu’il loue à des clandestins. Il fait aussi des paris dans le domaine du football. Al dit qu’il va payer Chuey pour truquer le match. Cela fait réagir Sam fortement. Cela attire le regard des joueurs et de l’entraîneur qui le voient parler seul dans le vide. Il doit faire 15 tours de plus qui deviennent 20 quand il proteste.

Dans les vestiaires, Chuey attend que Sam ait fini ses tours de piste. Ruben est là. Il le tente et lui parle des problèmes d’argent de sa mère. Il lui dit que le seul moyen pour qu’il soit sûr de récupérer de l’argent est de faire en sorte qu’il perde le match. Ils seraient alors quitte pour le loyer et il lui donnerait même des loyers d’avance.

Sam entre dans les vestiaires. Ruben fait signe à Chuey de ne rien dire. Après quelques mots, Sam et Ruben en viennent à se battre. L’entraîneur arrive et les sépare. Chuey trouve une raison pour la dispute. L’entraîneur expulse Ruben et fait un sermon à Chuey et Sam avant de partir. Sam dit à Chuey de ne pas perdre exprès.

Match entre les Jaguars et les Bulldogs. Il y a beaucoup de monde, les pom-pom girl font de l’animation. Ruben est dans le public. Il a parié contre les Jaguars.

Sur le terrain après quelques instants de jeu, Chuey fait semblant d’être blessé pour ne pas perdre volontairement. Il reste sur le banc de touche. Sans lui, les Jaguars ne peuvent l’emporter. Pendant tout le match, Sam lui jette des regards accusateurs. Chuey est mal à l’aise. Les Bulldog sont sur le point de gagner. Il ne reste que quelques secondes à jouer. Il y a un temps mort.

Banc de touche. Al arrive et commence à dire qu’il était en train de regarder un autre match. Sam lui explique la situation. Al lui dit alors que la seule solution pour que Chuey ne gâche pas son avenir, c’est que lui aussi abandonne et ne joue pas. Il précise que Eddie et Chuey sont aussi proches que Sam et lui. Quand Sam dit à l’entraîneur qu’il ne veut plus jouer, Chuey vient le sermonner en lui parlant des chasseurs de têtes dans le public. Après quelques instants d’hésitation, Chuey accepte de jouer, Sam le suit.

Match. Dans le public, Ruben commence à se demander ce qu’il se passe. Sam indique aux autres la tactique de jeu. Alors qu’ils vont prendre leur place, Chuey lui dit qu’il va lâcher le ballon. Cependant quand le match reprend, Sam lui lance tout de même le ballon. Mais, Chuey ne peut pas l’attraper. Il tombe. Tout le monde pense alors le match perdu. Mais, l’arbitre jette un drapeau jaune pour signaler un croche-pied. En raison de cette faute, le match n’est pas terminé, il y a encore une action à mener.

Le match redémarre. Après une diversion, Sam envoi le ballon à Chuey qui fait un touch down. L’histoire est donc changée. Les Jaguars gagnent le match. Ruben n’est pas content. Alors que toute l’équipe fête Chuey, quelqu’un fait à Sam le salut des Jaguars et celui-ci se retrouve encore une fois étalé par terre.

Après le match alors qu’il fait encore jour, une fête est organisée entre les maisons des Vega et des Martinez. Mais, Ruben arrive avec des hommes pour vider la maison de Celia et la mettre à la rue. Manuel Vega intervient. Il dit qu’il va payer ce qu’elle doit. Elle refuse en disant que ses économies sont pour acheter le restaurant. Manuel dit que de toute façon elle n’était pas d’accord. Elle lui dit que ce serait une meilleure idée que d’acheter d’autres camions pour vendre des tacos. Al dit à Sam que Ziggy indique que ce serait une bonne idée et que leurs camions pourraient rapporter gros. "Leurs ?" demande Sam. Al lui dit que c’est à lui de bien se débrouiller.

Sam s’approche d’un des déménageurs et lui prend une caisse des mains en disant de mettre les affaires dans la cours de la maison des Vega. Il dit que Chuey dormira dans sa chambre et que Celia dormira dans celle de son père. Chuey réagit vivement. Mais, Sam parle mariage. Manuel et Celia sont d’accord. Alors que tout le monde va aider à porter les objets. Ruben n’est pas content. Al dit en regardant la télécommande que tout va s’arranger et que Manuel et Celia auront encore plusieurs enfants ensemble. Ruben dit alors à Chuey qu’il va prévenir les services d’émigration. Mais, Sam lui dit que son père est américain et qu’après le mariage qu’ils le seront aussi.

Chuey s’éloigne et il ne reste plus que Sam, Ruben et Al. Ce dernier dit à Sam de ’le’ faire. Sam acquiesce et surprend Ruben en lui faisant le salut des Jaguars. C’est à ce moment qu’il est téléporté vers une autre époque (qui peut changer selon le montage de l’épisode).

Étude de l’épisode et généralisation à la série

On retrouve dans cet épisode plusieurs éléments communs à tous les épisodes de la série. Cependant, l’épisode étant assez éloigné du début de la série, certains éléments commencent à être librement adaptés.

Comme pour toute série, il y a des éléments identiques entre les histoires :
- Le prégénérique avant même le prologue présente la situation. Sam Beckett passe d’une identité à l’autre.
- Le prologue montre l’arrivée de Sam et son premier contact avec l’entourage de la personne qu’il remplace (ici, son arrivée sur le terrain de football américain).
- Juste avant le générique de début et de fin, il s’exclame ‘Oh bravo !’ (Oh Boy ! dans la VO). Dans certains épisodes, il y a une légère liberté à la fin de l’épisode, ce n’est pas Sam qui dit ‘Oh bravo !’. Cependant, dans l’épisode suivant la séquence est plus longue et il finit bien par lancer sa phrase fétiche avant le générique.
- Le générique explique par une voix-off le thème de la série : Sam Beckett qui passe d’une identité à l’autre pour aider les gens retournera-t-il chez lui ?
- Quand il arrive, Sam ne sait jamais rien sur la personne qu’il incarne (identité, âge, sexe, apparence, voire s’il sera humain).
- Sam découvre (et nous aussi) à un moment ou l’autre de l’histoire le visage de la personne qu’il incarne (ici, dans la glace du vestiaire). Chaque fois qu’il découvre son visage, le même petit jingle retentit.
- Al retrouve Sam sous forme d’un hologramme qui n’est, la plupart du temps, visible que par Sam (En croyant que Sam parle dans le vide, l’entraîneur lui fait faire des tours de piste). Al a aussi tendance à surgir au travers d’objets pour surprendre Sam et le faire sursauter (ici, dans les vestiaires).
- Al met toujours un peu de temps à lui dire qui il est et pourquoi il est là. Il a souvent tendance à être distrait par les femmes (pom-pom girl entre autres). Il communique avec Ziggy (un ordinateur) par l’intermédiaire d’une télécommande colorée, sur laquelle il tape souvent quand on ne lui donne pas assez rapidement des informations.
- Sam est amnésique. Il ne se souvient de rien concernant sa vie. C’est un génie (6 doctorats, le prix Nobel, parle 7 langues couramment). Il est notamment le créateur de la machine à voyager dans le temps qu’il utilise et de Ziggy.
- Il n’y a ni lieu constant (les personnages n’ont pas de bureau ou de maisons que l’on voit régulièrement), ni thématique constante (on passe de drames à des histoires légères en passant par des énigmes policières, des fables romantiques ou des histoires d’horreur).
- Pour pouvoir changer d’époque et peut-être retourner chez lui, Sam doit accomplir sa mission. S’il réussit, il repart tout de suite. Des fois, c’est rapide (juste lancer une balle sur un terrain de base-ball ou descendre un chat d’un arbre), d’autres fois plus long et requiert plusieurs tentatives (’Trilogie’ par exemple)
- Chaque épisode se termine par un fil rouge. On découvre quelques images de la nouvelle époque avant le générique de fin. Juste le premier contact avec l’époque qui est repris pour l’épisode d’après.

Au niveau des personnages :
Il y a en tout et pour tout trois personnages que l’on retrouve dans tous les épisodes : Sam, Al et Ziggy. Même si on ne voit pas l’ordinateur, Al en parle dans tous les épisodes. Il y a quelques personnages dont on entend parler dans plusieurs épisodes (entre autres la famille des personnages et les personnes du projet ’Quantum’).

Le reste : Une série peut aussi être reconnue par la manière dont elle est tournée et montée.
Il y a peu d’éléments dans la façon dont la série est tournée ou montée que l’on retrouve d’un épisode à l’autre de la série. Même la musique diffère souvent de celle du générique. Elle correspond généralement à une musique en rapport avec l’atmosphère ou l’époque de l’histoire.
Les seules choses que l’on pourrait dire identiques sont la façon dont le titre est sous-titré avec la date à laquelle se retrouve les héros et celle dont est illustré le passage d’une époque à l’autre (un éclair qui parcourt le corps du personnage). Dans ces éléments, on peut aussi retenir les titres des épisodes. Ils font souvent référence à des expressions ou des titres de films (cette idée a d’ailleurs été conservée lors de la traduction en français).

Conclusion

Ainsi, en prenant des exemples dans d’autres séries :

- Le fil rouge : Il n’existe pas beaucoup de séries actuelles (si on ne prend pas en compte le cas particulier des feuilletons ou autres soaps) qui ont gardé comme Code Quantum un ’fil rouge’ pendant aussi longtemps.

Les séries sur les voyages dans le temps ont souvent donné lieu à des fils rouges comme Au Coeur du Temps ou Les Aventuriers du temps. Les héros arrivent à une époque, un problème se pose, il est résolu dans l’épisode suivant.

La série Sliders a commencé avec une idée de ’fil rouge’. Les personnages devaient passer d’un monde à l’autre avec à la fin de chaque épisode un fil rouge pour le monde qui fera l’objet de l’épisode suivant. Mais, l’idée est abandonnée et les épisodes qui contenaient les fils rouges ont été diffusés dans le désordre. On peut malgré tout considérer cette série comme une série entrant dans le même cadre que Code Quantum car même si le fil rouge n’est pas toujours effectif, les héros changent totalement d’univers d’un épisode à l’autre.
Une autre série que l’on peut classer dans ce cadre est la série Le Caméléon. Même si la série ne présente pas un vrai fil rouge, le personnage passe, lui aussi, d’une perspective à une autre selon l’épisode. En fait, on peut aussi considérer certaines séries sans fil rouge qui fonctionnent selon un ’type continu’ comme Code Quantum. Dans chaque histoire, les personnages centraux changent de perspective. Il n’y a pas de références communes (personnages secondaires, lieux) entre les épisodes. Ainsi, Kung-Fu, Le Fugitif, Hulk ou La malédiction du loup garou, fonctionnent de la même façon. Dans chaque nouvel épisode, tout est nouveau pour les personnages centraux, rien ne reste d’un épisode à l’autre à part leur but et leurs souvenirs.

- l’histoire : Même si de nombreux éléments disparaissent d’un épisode à l’autre, certaines structures restent.

Dans Le Caméléon, l’histoire de fond reste la même : Jarod aide quelqu’un tout en essayant d’échapper aux personnes qui le suivent et d’en apprendre plus sur lui-même. Dans chaque épisode, il découvre des choses qui sont évidentes ou courantes pour les autres. Il a tendance quand il découvre quelque chose à en abuser (chewing-gum bazooka, pez, cakes au fruit ; farces et attrapes). Dans chaque histoire, il a une profession différente. Il récolte des informations sur le cas qui l’intéresse et fait la connaissance d’une personne qui n’a pas de rapport direct avec l’intrigue. Vers la fin de l’épisode, il trouve un moyen d’attraper le coupable, monte un piège pour ses poursuivants et aide la personne qu’il a rencontrée. Il prépare ces trois choses en même temps. On a donc souvent une surprise en constatant à quoi ont servis ses préparatifs. En opposition avec Jarod, ses poursuivants ont une base fixe le ’Centre’ où ils retrouvent souvent les mêmes personnages.
Dans Au coeur du temps, les personnages arrivent toujours à des moments clés de l’histoire et essayent souvent de faire en sorte de sauver des gens. Mais, ils ne réussissent jamais à changer le cours de l’Histoire et quoi qu’il arrive, ils ne font qu’aider à ce que les choses se passent comme elles le doivent. Dans cette série aussi, on trouve une opposition entre les voyageurs du temps et le personnel du chronogyre. Alors que les deux héros voyagent dans différents lieux et époques, on retrouve toujours les techniciens au même endroit.

- les personnages : Les personnages principaux se retrouvent d’un épisode à l’autre.

Dans Sliders, nous retrouvons toujours Quinn, Wade, Rembrandt et Arturo. En fin de troisième saison, le groupe est légèrement modifié (arrivée de Maggie et départ d’un des autres).

Dans La Planète des Singes, on suit toujours les 3 mêmes personnages poursuivis par les mêmes méchants.

- la façon de présenter la série : D’autres choses peuvent identifier la série : incrustations, musique...

Dans Au coeur du temps, on retrouve régulièrement l’image des spirales du chronogyre.

Dans Hulk et La malédiction du Loup Garou, en plus du fait que l’on voit rarement des géants verts et des loups-garous dans d’autres histoires, la transformation suit toujours le même rythme (le héros s’énerve, se transforme, déchire ses vêtements) avec le même style d’effets.

Pour Kung-Fu, c’est presque un pléonasme d’en rappeler la musique et l’atmosphère très hippie (atmosphère qui est peu en rapport avec les autres séries de style western).

Il n’y a pas de grandes différences entre la structure ’classique’ et la structure ’continue’ que l’on vient de voir. La différence réside surtout dans le nombre restreint des références qui lient les épisodes entre eux. Elles se limitent même de temps en temps à un seul personnage qui poursuit une quête.


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